Site de la sculptrice Véronique Gabrielli.
Véronique Armanno Gabrielli est née en novembre 1961 à Issy les Moulineaux de père italien et de mère parisienne.
Depuis l’enfance, elle dessine mais n’entame pas d’études artistiques.
Ce n’est qu’à 20 ans qu’elle décide de suivre des cours de bande dessinée par correspondance et participe en 1984 à un concours où elle obtient le 5ème prix.
En 1984, Véronique quitte son emploi de cambiste (courtier bancaire) pour suivre son compagnon en Corse.
Sur l’île, elle suit des cours de théâtre à Bastia, puis en 1985, des cours de chant corse traditionnel à l’école de musique, sous la direction de Jean-Paul Poletti.
Elle réalise ses premières peintures huile aquarelle.
Mai 1987 : naissance de son premier enfant.
Véronique co-monte un groupe musical « Pyramide » où elle chante des reprises de blues, de jazz et de rock, et est choriste dans le groupe Zia Devota qui gagne le premier prix au festival rock de Bastia.
Dans le même temps, elle s’essaye au piano.
En 1989, de retour à Paris, avec son mari journaliste, elle prend durant 2 années des cours de chant lyrique.
C’est seulement en 1990, après la visite du Musée Rodin que Véronique commence à sculpter la pierre et à modeler. Elle réalise alors sa première Å“uvre « La vierge », sa cuisine lui servant d’atelier.
Novembre 1990 : naissance de son deuxième enfant.
En 1994, de retour en Corse et employée dans une marbrerie, l’artiste sculpte le marbre « La colombe » et accompli sa première Å“uvre monumentale en plâtre « L’ange » (1997).
Très attirée par le chant, elle chante la chanson de Salomon dans l’Opéra « Da tre soldi » avec la Compagnie « U Téatrinu » (1997/98) et travaille la polyphonie dans un groupe féminin.
Dans le même temps, elle fait de la figuration dans « Les déracinés » avec Jean Yanne.
En 2002, Véronique ouvre son premier véritable atelier au couvent de Cervione, animant des ateliers artistiques à destination du jeune public et poursuit son travail de sculpteur et de peintre exposant régulièrement en différents lieux dans toute la Corse.
Elle entame en automne 2003 sa seconde Å“uvre monumentale « I sintineddi di a paghjella » qu’elle achève en juillet 2004 et à travers elle, réunit en quelque sorte ses deux passions : le chant et la sculpture.
Depuis le début 2005, elle a installé son nouvel atelier dans l’ancienne école de San-Giuliano.